Taxer le sucre des boissons : une mesure surtout efficace pour les jeunes filles de milieux populaires


C’est en mars 2016 que le Royaume-Uni decide de tax les boissons sucrees. Il faut dire que le percentage d’enfants anglais souffrant d’obésité atteint des sommets : 25,5 % of students of 6th (against an average of 5% in France). Au sortir de l’adolescence, ces jeunes consomment en moyenne 70 grammes de sucres ajoutés par jour, alors qu’ils treudrein n’en consommer pas plus de 30 g (6 morceaux de sucre). Et ces sucres ajoutes proviennent principalement de la prise de sodas. Boys are more concerned than girls, and children from popular milieus are more at risk than children from more aisés.

Inciter les fabricants à reformuler les recettes des sodas en diminuant la teneur en sucre

A la différence de pays comme le Mexique, qui ont mis en place une taxe sur les boissons sucrees afin de les rendre more chères, la taxe anglaise avait pour objectif d’citer les manufacturers à reformuler leurs recettes en diminuant leur teneur en sucre : less il y avait de sucre dans les boissons, plus la taxe était faible. Afin de laisser le temps aux industriels de revoir la composition de leurs boissons, le législateur anglais avait décidé que la taxe ne s’appliquerait qu’à partir d’Avril 2018. Ainsi, à partir du moment où la taxe a été appliquée, le percentage de boissons contenant plus de 5 g de sucre/100 ml est passé de 49% à seulement 15% des boissons sucrees (éligibles à la taxe) vendues au Royaume-Uni. Un bémol cependant : la taxe ne s’applique qu’aux boissons gaseuses, typiquement les sodas… Dernière spécificité : une partie de la taxe paide par les fabricants aussi été répercutée sur le prix vente au détail (comme au Mexique), ce qui a augrement le cost de ces boissons.

Il était donc intéressant de dresser un bilan de l’impact de la taxe anglaise sur l’obésité infantile. C’est à cette tâche que s’est attelée l’équipe de l’École de médecine clinique de l’Université de Cambridge (Royaume Uni), autour de l’épidémiologiste Nina Rogers. En effet, depuis 2015 WHO recommendations, founded on diverse experiences à travers le monde, un nombre important de pays ou de villes ont mis en place ce type of mesure fiscale, avec des résultats très différents selon les criteria d’application de la mesure. In Philadelphia, sur la côte est des Etats-Unis, the “soda tax” will be successful: a tax of 50 cents per liter on sweet drinks and light a eu pour effet de faire chuter de 38% la vente de ces produits dans les magasins de la ville. En revanche la première “taxe soda” mise en place en France aurait été sans réel effet ; elle a donc été revue en 2018 dans l’espoir de la rendre plus efficace.

.